Je me souviens de nous,
Ces promenades, ces jeux...
Je pense à nous,
ces rires, c'était ça nous deux...
Qu'étions-nous l'un pour l'autre nous ?
Des amis, des frères, un nœud.
Parfois je redeviens nous,
tout est encore là tu sais.
Je pleure sur nous,
je n'oublie rien de nos vérités.
Je rêve de nous,
Comme tu me manque, c'est fou.
Je me replonge en nous,
dans ces confidences, ces jeux si doux.
Rien n'y fait, je reviens chaque fois à nous,
parce qu'on était des amis.
Rien ne nous remplace nous,
pourquoi donc un jour tout s'enfuit ?
Nulle part, pas même une photo de nous,
avons-nous tout perdu alors ?
Je ne sais si un jour, encore nous...
nos regards, dis-moi, se croiseront-ils encore...
Mon ami, si souvent je pense à nous,
Je suis parfois triste le soir, quand je suis seul...
Différemment peut-être, mais il y a encore un peu de nous,
Pas vrai ? Ne me dit pas " mon œil! "
Nous, encore nous, il y a encore un peu de nous,
en toi, en moi, en nous...
jeudi 16 août 2018
mardi 7 août 2018
Hier encore, c’était l’été de Julie de Lestrange par Vincent Vallée.
Hier encore, c’était l’été.
Alexandre est un adolescent parisien, comme beaucoup de
jeune de son âge il aime se retrouver avec quelques potes, s’amuser, boire un
petit coup. Alexandre a cette chance, d’avoir en prêt un chalet qui appartient
à sa mamie. Il y passait ses vacances en famille autrefois, aujourd’hui il s’y
rend avec sa bande d’amis. Une occasion chaque année de tous se retrouver. Il y
a Alexandre, sa petite sœur Anouk, Marco son meilleur ami, Sophie un flirt
devenue son amie, etc. Une sacrée bande d’amis.
L’auteure de ce premier roman arrive à « choper »
son lecteur dès les premières pages, pour une première c’est gage de réussite
non ? On se retrouve dans ces personnages, entre l’ado qui bosse pour
réussir dans la vie, qui tombe amoureux fou d’une fille qui ne lui correspond
pas, l’ado flemmard sans cesse comparé à son aîné qui lui, réussit tout, la
jeune fille un peu délurée parce que pommée… Il y a un peu de nous dans chacun
des acteurs de ce récit qui résume le passage d’une étape de vie à une autre,
cette étape où l’on se rends compte que nous sommes « les vieux d'aujourd’hui »,
ceux qu’on regardait hier encore, avec ras-le-bol ou admiration et respect,
parfois tout ça mélangé.
Dans ce roman il est aussi question d’une mamie, gentille,
sage et souriante, ce genre de mamie qu’on adore, qu’on aimerait garder avec
nous le plus longtemps possible. La mamie d’Alexandre est veuve, âgée et vit
seule. La visite de son petit-fils lui donne le sourire à chaque fois, les
années passent et Alexandre la voit s’éteindre comme son adolescence, un cap,
un passage obligé, une génération passe, l’autre prend le relais, ainsi va la
vie…
Ce qui me marque dans cette lecture c’est l’honnêteté du
récit, les jeunes complices se séparent pour mieux se retrouver, puis ils
tombent amoureux, commence à travailler, évoluent et se perdent de vue. Cependant,
les plus fidèles amis se retrouvent toujours et souvent c’est quand ça ne va
pas. C’est ce qui arrive à Alexandre et Marco, deux gars bien différents mais
unis par une véritable amitié, un regard et un sourire les réconcilie, c’est ça
la vraie amitié, la complicité.
J’ai terminé ce roman hier soir et j’y ai repensé en me
réveillant, c’est dire si j’ai aimé. Julie de Lestrange a réussi son premier
roman, je me doute qu’il est si réussi parce qu’il y a un peu de son vécu
quelque part, dans un de ses personnages ou plusieurs d’ailleurs. Il faut se faire
plaisir quand on écrit, exorciser un vécu, rendre hommage aussi… J’ai eu
plusieurs sentiments lors de cette lecture, un roman que j’ai pris au départ
comme un bon roman de plage, mais non, c’est un roman d’une profondeur sincère,
qui fait réfléchir à soi et aux autres, nos amis, nos copines, nos aînés déjà disparus.
J’espère que Julie de Lestrange n’en restera pas là, qu’elle
poursuivra sur sa lancée, et quelle lancée ! Je recommande vivement ce
roman si vous voulez une lecture emplie de nostalgie et de positivisme, une
lecture qui ramène à soi et fait réfléchir.
Julie de Lestrange a surtout écrit pour la télévision, le théâtre et le milieu du spectacle.
Elle est auteur de textes et spectacles pour des événements destinés aussi bien au grand public qu’à des personnalités.
"Hier encore, c’était l’été" est son premier roman et paraît le 21 mars 2016 aux Éditions Mazarine.
mercredi 18 juillet 2018
Sans famille de Hector Malot par Vincent Vallée
Sans famille
Oui un classique, et quel classique !
Ce roman de Hector Malot, est une merveille, un bijou littéraire. Enfant, comme beaucoup de ma génération, j'ai regardé des dessins animés, des séries, mais Rémi sans famille, un des touts premiers mangas d'ailleurs, fut un merveilleux moment. J'en garde un souvenir impérissable.
Ce roman écrit il y a bien longtemps, en 1878 par Hector Malot, est une ode à l'enfance, à la pauvreté, à la France et ses belles régions. L'histoire se déroule au 19ème siècle, dans la campagne française où vit un tout jeune garçon avec sa mère. Ils sont pauvres mais si heureux avec leur vache laitière, quelques poules et un petit jardinet que Rémi cultive avec amour. Mère Barberin est seule pour élever son enfant, son époux travaille comme maçon pour subsister et souvent parti des semaines, des mois durant.
Cependant, ce n'est pas dans ce petit coin de campagne française que Rémi est né, il est né en Angleterre, dans une des plus riches familles de Londres. Son père décédé, il est devenu avec sa naissance, une menace pour son oncle qui voulait plus que tout, hériter de son frère défunt. Rémi sera enlevé et abandonné à Paris, sous un porche, enveloppé dans une layette de luxe. C'est là, que le père Barberin trouvera l'enfant et le recueillera puis le confiera à son épouse restée chez eux, à la campagne.
Un beau jour, à court d'argent et blessé, Barberin rentrera et découvrira Rémi encore là et grandi, il décidera de le placer dans une institution, mais au lieu de ça, en chemin, il le vendra à un amuseur de rues, le Signor Vitalis. Rémi sera ainsi arraché à sa mère nourricière et entamera là, avec le Signor Vitalis, son long et difficile périple à travers la France, en compagnie de Vitalis, Capi son fidèle caniche, Zerbino le chien têtu et Dolce, l'élégante femelle de la troupe. Sans oublier Joli-Coeur, le singe vêtu d'un costume de maréchal !
Vitalis autrefois, fut un célèbre chanteur d'opéra en Italie, reconnu et adulé de tous. Sa voix lui ayant fait défaut, il partira sous un autre nom, parcourir les rues de France pour essayer de vivre, obligé de renoncer à sa carrière et sa célébrité. Rémi sera recueilli ou plutôt, acheté par lui. L'enfant allait lui être d'un grand secours financier, mais aussi une compagnie pour ses vieux jours. Vitalis habillera Rémi, lui apprendra à lire, écrire, compter, chanter, jouer de la musique. Mais par dessus-tout il lui apprendra à vivre et à surmonter les épreuves de la vie. Une vie qui fut difficile à ses cotés mais si riche en enseignements. Rémi le découvrira plus tard avec nostalgie.
Vitalis mourra de vieillesse, d'épuisement et de froid aux coté de son cher petit protégé. Commencera alors une autre vie pour Rémi, une vie sans Vitalis mais avec ses enseignements et son chien Capi. C'est là qu'interviendra Mattias, rencontré un peu plus tôt, tous les deux développeront une amitié, une complicité au delà de toutes espérances. Ils parcourront les rues de France tous les deux et tenteront de découvrir les vrais parents de Rémi. Une recherche qui leur fera vivre des moments intenses et dangereux. Au bout de l'histoire, une issue, un dénouement, une fin à ce récit si riche, si beau, si tendre...
J'ai souvent pleuré quand j'étais enfant et que je regardais les épisodes de la série, tant les scènes dramatiques, les déchirements, l'abandon qui touchait Rémi me rendait triste. Lire ce roman, c'était important pour moi, c'était intense, c'était beau, si beau, que les larmes me sont à nouveau montées aux yeux. Mon enfance a rejailli, les émotions de ce récit sont si touchantes. Je ne doute pas d'avoir lu là, un chef d'oeuvre, un si joli classique. Si des enseignants me lisent, de grâce, faites lire quelques classiques à vos élèves, c'est fondamental ! Adolescents, si vous me lisez, n'attendez plus, lisez Jules Verne, Marc Twain, Dickens... Cela doit faire partie de votre vie de lecteur, peu importe si vous en êtes un compulsif ou un plus modéré.
Croyez-moi, fermer un livre comme Sans famille, et se dire à nouveau que jamais plus, je ne lirai rien d'aussi beau, c'est si particulier... Ne passez pas à coté de ces petits bijoux littéraires.
Note : Daniel Auteuil, un de mes acteurs favoris d'ailleurs, tourne en ce moment le film basé sur le roman de Malot : Sans famille. Il sera au cinéma pour Noël 2018. Avec un tel acteur, nul doute que ce sera une réussite !
dimanche 24 juin 2018
Un homme de Philip Roth, par Vincent Vallée
Un homme, voilà un titre évocateur.
Quand j'ai commandé ce roman à mon libraire, car oui il faut acheter vos romans aux libraires ! Quand j'ai passé commande donc, je savais que Philip Roth, l'auteur, était mort.
J'ai, comme beaucoup et j'ai honte, découvert cet écrivain parce qu'il est décédé. Quel triste hasard ou signe du destin, ce roman de Roth, parle de la mort, uniquement presque...
Quand j'ai commandé ce roman à mon libraire, car oui il faut acheter vos romans aux libraires ! Quand j'ai passé commande donc, je savais que Philip Roth, l'auteur, était mort.
J'ai, comme beaucoup et j'ai honte, découvert cet écrivain parce qu'il est décédé. Quel triste hasard ou signe du destin, ce roman de Roth, parle de la mort, uniquement presque...
En réalité on y évoque la vie, celle d'un homme, faible sur le plan physique, sûr de lui avec les femmes, gauche avec ses enfants. Il est tout au long de sa vie fragile, confronté à la mort, celle de ses parents, de ses amis, la sienne qu'il redoute.
Ce roman est un roman noir, certes, mais il permet de voir que la vie, finalement, est une ligne tracée. Sur cette ligne il faut écrire son histoire, en évitant d'y faire trop de fautes, avec sa plus belle écriture et en essayant, je dis bien en essayant, d'y raconter une belle histoire.
Les ratures ne sont pas bien grave si on se rattrape, si on corrige, si on réécrit.
La vie c'est ça, une ligne... Ne dit-on pas : "Ligne de vie" ?
Roth, dans ce roman, m'a touché, ému, convaincu que la vie, même si elle est parfois moche, fragile, secouée, vaut la peine d'être vécue jusqu'au bout, du mieux qu'on peut. Il faut juste ne pas oublier... qu'on n'est qu'un homme...
L'auteur :
Petit-fils d’immigrés juifs, originaires de Galicie arrivés aux États-Unis au tournant du XXe siècle, il grandit dans le quartier de la petite classe moyenne juive de Newark. Après des études à l'université Rutgers de Newark, à l'université Bucknell en Pennsylvanie, puis à l'université de Chicago, il y enseigne les lettres, puis la composition à l'université de l'Iowa jusqu'au début des années 1960. Il reprendra ses activités d'enseignant de manière intermittente, en littérature comparée.
En octobre 2012, il annonce, lors d'un entretien qu'il arrête l'écriture et que "Némésis" (2010) restera son dernier roman.
Philip Roth a reçu de nombreux prix prestigieux dont le prix Pulitzer 1998, pour "Pastorale américaine", le prix Médicis étranger 2002 pour La "Tache" et le prix Prince des Asturies 2012.
Jusqu'au milieu des années 1980, il partage sa vie entre les États-Unis et Londres, avec sa compagne, l'actrice britannique Claire Bloom. Ils ont été mariés de 1990 à 1995.
( SOURCE BABELIO pour la BIO).
lundi 21 mai 2018
La disparition de Stéphanie Mailer de Joël Dicker par Vincent Vallée.
Je suis un adepte des romans de Dicker depuis " La vérité sur l'affaire Harry Québert " et " Le livre des Baltimores" mais cette fois, je suis plus que déçu, je suis décontenancé.
À la lecture des premières pages je suis enthousiaste ça commence bien, ça commence fort : Un thriller. Car, bien que Dicker s'en défende, je ne sais pourquoi d'ailleurs, c'est un thriller, cependant, mal ficelé.
Mon premier reproche : Il y a beaucoup, beaucoup trop de personnages. Un auteur doit penser que tous ses lecteurs ne lisent pas un roman d'une traite ou en deux jours... On lit parfois entre les cours, dans les transports en commun, après le travail. Reprendre une lecture plusieurs heures après l'avoir laissée de coté et alors qu'un tas de personnages sont arrivés, c'est déconcertant. Dans ce roman, c'est le cas, les uns succèdent aux autres et au bout d'un moment on s'y perd.
Ensuite il y a les flashs backs.
C'est sympa si ce n'est pas trop redondant, mais ici encore, il y en a trop avec des ajouts de personnages dans les flash backs, c'est encore déconcertant.
Ce qui est intéressant par contre, c'est qu'on ne devine pas ou ne soupçonne pas, qui est le meurtrier, on se doute, on déchante, on a de nouveau un doute mais on s'égare. Là, Dicker réussit son coup. Dommage pourtant les longueurs pour... faire du remplissage de pages quoi.
Je rappelle que je suis fan de Dicker pourtant.
Le pire est à venir pourtant. Qu'est-il arrivé lors de la correction de ce long, très long roman ? C'est inouï le nombre de fautes d'orthographe et les oublis de majuscules, etc. Là aussi, ça cale le développement de la lecture, l'arrête, la freine, lui fait perdre de sa superbe. Ces erreurs et lacunes, oublis, vont plus loin, Dicker intervertit deux personnages clefs vers la fin du roman, de quoi s'y perdre plus encore, alors qu'on l'est si souvent déjà tout au long de cette lecture.
Si je devais donner une note sur 10, sans hésiter je donnerai 5 pas plus. Dicker a quitté son personnage habituel, Marcus, certes, mais alors là il l'a remplacé et par une foule d'autres. Et encore une fois, il ne sait contextualiser son récit qu'aux USA, c'est fort dommage ce manque d'imagination.
Voilà, vous avez compris, mon avis est mitigé et penche plus vers une déception. Si Dicker sort un autre roman après celui-là, je le lirais oui, mais si je suis encore déçu c'en sera fini entre lui et moi !
mercredi 7 mars 2018
Un texte, un poème... de Vincent Vallée
Je vous parle depuis un moment,
cela fera bientôt dix ans.
Et il me faut reconnaître,
que j'aime ce temps-là
J'écris des mots maladroits,
justes ou sans caractères.
Et moi humble petit,
ainsi vous sert mes récits.
À mes crayons parfois plus de mines,
jamais satisfait ni repu...
J'utilise cette famine, j'écris ce en quoi j'ai cru,
souvent l'inspiration vient des nues
Un texte, un poème...
Alors, je peux dire,
oui, je suis heureux.
Mon texte, ce poème,
je ne l'écris parfois, qu'une heure ou deux.
Un récit joyeux, un texte anodin,
nous sommes ainsi, quelques-uns.
Quelques-uns ne cherchant aucune gloire,
en écriture il faut essayer d' être heureux.
Ne pas chercher à toucher les cieux,
ne jamais cesser d'y croire.
Et quand parfois plus aucun mots,
A notre page ne tiennent chaud...
Filons, tendons les voiles,
lisons quelques vers.
Confortablement assis près d'un poêle,
et de préférence l'hiver, pour que quelque part renaisse enfin...
Un texte, un poème...
J'aimerai parfois écrire,
que la vie est jolie
Dans un texte, un poème...
qu'il n'est pas utile d'avoir du génie.
Quelques vers suffiraient alors,
déclamés autour d'un thé.
Pas question de pages blanches,
un récit est un dessin.
Tels les lignes d'une main,
il prend forme et s'épanche.
Et ce n'est qu'au matin,
qu'on se dit enfin...
Que malgré les problèmes,
un texte est né, un poème vit.
Fallait-il que l'on s'en éprenne,
pour lui donner vie ?
Un texte, un poème...
Juste pour dire,
que j'ai écris avec quelques élans...
Un texte, un poème...
À ceux-ci il faut du temps,
Afin de voir le jour.
L'inspiration parfois va faire un tour,
mais c'est avec adresse...
Que chaque fois elle revient un peu plus,
j'écrirais alors sur les murs, transformerais les noms des rues.
Je serai emporté,laissant de coté la politesse,
j'écrirais jusque sur les escaliers tout mon azur, toute ma faiblesse...
Un texte, un poème...
dimanche 11 février 2018
Sois belle et tais-toi, de Dominique Bulinckx par Vincent Vallée
Sois belle et tais-toi
Dominque Bulinckx est assistant social, il a donc matière à écrire sur les récits de vie et avec cette nouvelle il ne s'en est pas privé.
Écrire une nouvelle est un challenge, contrairement à ce qu'on croit, c'est court, peu épais, mais c'est là toute la difficulté. Il faut arriver à capter le lecteur dès le début, construire l'histoire rapidement sans la découdre. La nouvelle doit créer quelques photos dans l'imaginaire du lecteur.
Pour cette nouvelle, SOIS BELLE ET TAIS-TOI, voici mes photos :
Une jeune femme, Rose, qui gît dans son sang et la pluie, les yeux livides dans une rue sinistre. Ensuite ma seconde photo représente une jeune fille, Rose et sa grand-mère qui nourrit un perroquet en riant toutes les deux. Ma troisième photo est ce beau-père qui caresse la jambe de sa belle-fille s’apprêtant à la violer. La suivante, fixe dans mon esprit Rose qui hurle devant cette mère indigne qui lui avoue tout savoir et en rit, se moque d'elle. Je garde aussi à l'esprit ce garçon, que Rose aime au point de supporter les gifles qui se transforme en coups, elle supporte tout car elle l'aime. Ma dernière photo est celle de cette femme, livide, meurtrie et assise sur le bord de sa fenêtre, prête à sauter vers le néant, celui qui l'habite depuis ses plus tendres années.
SOIS BELLE ET TAIS-TOI est un coup de poing littéraire, le pari de marquer l'esprit est réussi car j'en garde ces photos dans mon souvenir. C'est ça une nouvelle réussie, marquer rapidement. Dominique y est arrivé, et je suis persuadé qu'il doit persévérer dans cet exercice difficile, car il le maîtrise, et qui sait, verrons-nous un jour un roman naître de cet exercice qu'est la nouvelle.
Dominique a cette flamme en lui, celle de l'écrivain, de l'amoureux des mots, je vous recommande cette nouvelle qui est un hommage rendu aux femmes victimes de violences, de viols, de désamour...
L'auteur, Dominique Bulinckx
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