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mercredi 7 mars 2018
Un texte, un poème... de Vincent Vallée
Je vous parle depuis un moment,
cela fera bientôt dix ans.
Et il me faut reconnaître,
que j'aime ce temps-là
J'écris des mots maladroits,
justes ou sans caractères.
Et moi humble petit,
ainsi vous sert mes récits.
À mes crayons parfois plus de mines,
jamais satisfait ni repu...
J'utilise cette famine, j'écris ce en quoi j'ai cru,
souvent l'inspiration vient des nues
Un texte, un poème...
Alors, je peux dire,
oui, je suis heureux.
Mon texte, ce poème,
je ne l'écris parfois, qu'une heure ou deux.
Un récit joyeux, un texte anodin,
nous sommes ainsi, quelques-uns.
Quelques-uns ne cherchant aucune gloire,
en écriture il faut essayer d' être heureux.
Ne pas chercher à toucher les cieux,
ne jamais cesser d'y croire.
Et quand parfois plus aucun mots,
A notre page ne tiennent chaud...
Filons, tendons les voiles,
lisons quelques vers.
Confortablement assis près d'un poêle,
et de préférence l'hiver, pour que quelque part renaisse enfin...
Un texte, un poème...
J'aimerai parfois écrire,
que la vie est jolie
Dans un texte, un poème...
qu'il n'est pas utile d'avoir du génie.
Quelques vers suffiraient alors,
déclamés autour d'un thé.
Pas question de pages blanches,
un récit est un dessin.
Tels les lignes d'une main,
il prend forme et s'épanche.
Et ce n'est qu'au matin,
qu'on se dit enfin...
Que malgré les problèmes,
un texte est né, un poème vit.
Fallait-il que l'on s'en éprenne,
pour lui donner vie ?
Un texte, un poème...
Juste pour dire,
que j'ai écris avec quelques élans...
Un texte, un poème...
À ceux-ci il faut du temps,
Afin de voir le jour.
L'inspiration parfois va faire un tour,
mais c'est avec adresse...
Que chaque fois elle revient un peu plus,
j'écrirais alors sur les murs, transformerais les noms des rues.
Je serai emporté,laissant de coté la politesse,
j'écrirais jusque sur les escaliers tout mon azur, toute ma faiblesse...
Un texte, un poème...
mardi 17 octobre 2017
Monsieur Brel.
Monsieur Jacques, comment rimer sans vos mots, comment
respirer sans les airs de vos chansons, comment frissonner sans vos vers…
Ho, monsieur Brel, comme je vous admire, comme j’aime votre
arrogance, comme j’aime votre émotion, comme j’aime vos coups de gueule en
chansons…
Monsieur, vous me faites
pleurer en musique vous me faites vibrer et de frissons en frissons je réfléchis
à la profondeur de vos mots, si bien choisis.
Monsieur le poète, vous êtes
de ces hommes qu’on n’oublie pas, qui chantent et honorent la poésie, monsieur
Brel, monsieur Jacques, dans ce flot de variétés où l’on ne chante plus, on
singe, vous nous manquez…
dimanche 4 juin 2017
Paris...
Paris c'est moi, je suis heureux tu sais,
Il y a des lieux comme ça où tout...
s'enroule autour de vous.
Sans savoir pourquoi, on s'y précipite on y court.
Regarder le grand A
Sans jamais baisser les yeux, et je me met à penser...
C'est pas la solution à tout,
Mais faut bien rêver je crois...
Paris, empresse toi, on vit,
On ne passe qu'une fois...
Et on n'a le temps de rien,
Qu'on est déjà à la fin mais, c'est décidé, je viens...
Ce n'est pas écrit dans tes rimes,
Le plus important à retenir,
Est de vivre en troubadour.
Le temps peut se prénommer toujours...
Même, si je n'ai pas entre temps,
Assumer mes fichus boniments...
J'ai en moi, peut-être ai-je tort,
Des envies d'alors...
Tu sais Paris, non, je n'entends plus ton cœur,
Il me faut réparer cette erreur ou encore,
Refaire ce que j'ai omis de faire,
Revenir admirer ta dame de fer...
Paris ne m'arrête pas, je veux vivre
Un fragment de vie avec toi...
On aura à peine le temps de se voir,
Qu'il sera déjà trop tard..
Oh Paris, je vais faire le tour,
De tes paysages d'amour.
J'ai désormais bien assez dans mon bagage
Pour tourner avec toi d'autres pages, il faut que tu le saches...
Sache que Paris me fut conté.
Faut jamais s'y promener en pensant,
Qu'il est devenu dommage,
d'avoir passé l'âge d'y demeurer.
Paris, une fois mon périple fini, ne m'encombre pas,
De souvenirs, de songes de toi.
Aucun regret ne me tiendras debout
Parce que pour moi, tu es partout...
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