vendredi 11 août 2017
Van Gogh, la déraison ?
Ta peinture et ses courbes me fascine,
Elle me fait du bien, m'entourloupe et caresse ma rétine.
Partout autour de moi, elle emplit ce vide statique,
À ces courbes, très adroit, tu donnes cette plastique.
Ta folie supposée est devenue un mythe,comme d'aucuns le proclament,
Quelques gribouilleurs ou critiques voient en cela une logique, mais dame !
Moi petit auteur, je veux feindre et ne voir que ton esprit, ces embruns empathique,
De tous ces peintres que tu as côtoyé, Gauguin fut de passage, opportun, le plus sadique.
Il t'as sali et ton art fut rabaissé en plein pic, lui, ton talent si pur... pour nous, si emportant,
Ton don aplati, mutilé par cet opportuniste, ta peinture, tes coups si ondulants.
Et puis en plein labeur, un jour, tu es parti on ne sait à cause de qui, ta déraison ?
Dans ton cœur et autour est demeuré caché ton souhait, ton répit, notre déception...
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