dimanche 22 janvier 2017

Ecrire c'est quoi ?





Ecrire c'est quoi ?

Ecrire selon moi, c'est vivre …

Lire qu'est ce que c'est ?

Lire selon moi c'est rêver.

Rêver c'est fuir la parfois, triste réalité …

La réalité c'est qu'écrire m'aide à vivre pour continuer de lire.


Et ainsi penser que demain, je pourrais encore rêver échapper à cette réalité.





dimanche 15 janvier 2017

Lecture vivante de L'homme du bo et autres poésies d'Emile Verhaeren.

Pour un auteur peu connu, comme moi, il est parfois frustrant de voir la popularité de certaines stars du livre, ou même des auteurs connu et méritant. Ce serait faux de dire que je ne les jalouse pas un peu.

Alors, je tente de faire de bonnes rencontres, de me faire des amis dans le monde de la littérature, et ce, à tous niveaux, de participer à des événements et des salons du livre.
Je porte de l'attention au plus simple auteur comme moi, tout comme à des auteurs plus connus et reconnu.
Ce qui fait un bien fou humainement, c'est d'être mis en avant comme je l'ai été hier soir par une lecture vivante de ma nouvelle L'homme du bo.

Cette lecture était parfaite, et très bien organisée et je le dois à une troupe, un groupe théâtral BOX THEATRE.  http://boxtheatreadm.wix.com/box-theatre ou encore ici https://www.facebook.com/box.theatre.wa/

C'est la deuxième fois que je suis aidé grâce à leur talent et surtout leur gentillesse. C'est pour moi, une belle récompense.

Lors de la première lecture vivante de Les écrits parleront, je n'étais pas au top de ma forme, je peux même dire que j'étais malade. Je n'avais pas voulu trop participer et j'étais resté un peu dans mon coin, frustré et ennuyé d'avoir changé physiquement ...




Mais je m'étais dit par la suite que j'aurais dû faire un effort pour eux, BOX THEATRE et pour leur gentillesse à mon égard.

Je me suis cette fois un peu plus plié à l'exercice, j'espère avoir été à la hauteur.
Je veux encore une fois les remercier pour cette lecture accompagnée du trio MNEMOSIS, la harpe, la flûte, le violoncelle, j'ai adoré. Tout ce petit monde donne une dimension magnifique à l'exercice.

Je vous partage ces quelques moments :





















mercredi 11 janvier 2017

Le livre parle aussi.

                                                               


 Le livre parle aussi.




J'aime quand tu me regardes cher lecteur,
Que tu me caresses de tes doigts avec tant de cœur.

J'aime aussi te voir rire ou t'émouvoir,
Lorsque tu me regardes avec passion, souvent le soir.

Parfois par distraction, tu me laisses de côté,
Reprenant notre conversation, nos caresses au signet.

Nous reprenons alors notre communion,
Les yeux dans les yeux, nous sommes en fusion.

Ce que j'aime moins, mon doux et tendre ami,
C'est demeurer sur cette étagère, loin de nous, quel mépris.

Oublié alors, dans la multitude de mes rivaux, qui m'envient,
Je ne vis plus, je ne suis plus beau et transpire la nostalgie.






dimanche 8 janvier 2017


Mise en avant avec un partenaire de qualité

par

BOX THÉÂTRE




lundi 19 décembre 2016

Un chat des rues nommé, Bob, de James Bowen

Un chat des rues nommé Bob...






James Bowen est un jeune homme vivant ou plutôt, survivant à Londres. Il est sans emploi et presque SDF, une chance pour lui, il joue de la guitare et chante. Les rues de Londres sont son lieu de travail, autrefois, il vivait en Australie avec sa mère. Accro à la drogue James va quitter son pays pour tenter sa chance dans la musique à Londres donc.

C'est ainsi que James va faire la connaissance un jour sur son palier, de Bob, un chat errant qui semble blessé ou malade... James va attendre au cas où celui-ci appartiendrait à un voisin, mais le chat ne bougera pas de ce palier. Par pitié et empathie, James va le recueillir, le nourrir, et puis le faire soigner dans un centre vétérinaire à coûts modeste. James vit de peu de chose et de mendicité...

Bob sera alors pucé et soigné, et deviendra ainsi le fidèle compagnon de James. La relation entre Bob et James devient de plus en plus intense et fidèle, Bob faisant preuve d'une reconnaissance sans limite et puis aussi d'une intelligence comparable à celle d'un chien.Bob va  dés lors, accompagner James dans la rue , aux sorties de stations de métro londoniens, et là... Une surprise va mettre fin à la galère de James. Bob va devenir une vraie star, intéressant tant de badauds, plus que James n'en a jamais vu. Les pièces vont tomber dans son étui de guitare, car Bob va susciter la sympathie et la curiosité.

James ancien drogué sous méthadone va avancer dans son processus de guérison, Bob sera un moteur pour l'y aider. Pourtant, régulièrement James va perdre Bob dans la rue, tantôt à cause d'un homme un peu virulent et déguisé, tantôt à cause d'un chien agressif. Chaque fois, ils vont se retrouver, et se lier encore plus. James va finir par se décider à franchir le pas de la guérison définitive et abandonner la méthadone, le manque va s'installer et tout son lot d'effets secondaires agressifs, sueur froide, agitation, hallucinations... 

James va tout surmonter parce que Bob était là et que James savait qu'ils avaient besoin de l'un l'autre. Une relation plus que Maître-compagnon, la relation entre Bob et James va être salutaire pour l'un comme pour l'autre. Un joli témoignage puisque issu d'un fait réel, Bob étonnant par son calme aux côtés de son protecteur et sauveur, James Bowen et Bob une belle histoire, émouvante et pleine d'optimisme.




On a tous une seconde chance dans la vie.

dimanche 11 décembre 2016

Le maître des illusions de Donna Tartt.

Un roman de 700 pages qu'on ne saurait pas finir s'il n'était pas magnifique. Ce roman est le premier de l'auteure Donna Tartt.




Il faut savoir qu'elle a mis +- 10 ans à l'écrire, elle n'est pas très productive comme auteure mais quel talent...
Un pavé donc, mêlant psychologie et intrigue. On peut y trouver une ressemblance avec le cercle des poètes disparus.

On va donc suivre un adolescent qui entre à la Fac pour une branche un peu oubliée, le Grec ancien. Il va rencontrer cinq étudiants un peu sombre, un peu fermé, le tout chapeauté par un instit atypique, Julian.

Donna Tartt va nous faire découvrir ces étudiants au travers de leurs histoires personnelle. Résultat, on s'attache à eux et on ne veut pas les laisser en fermant le roman.

Avoir choisi le grec comme branche n'est pas une coïncidence mais bel et bien voulue par l'auteur pour son coté tragique.

On va découvrir que l'intrigue de ce pavé tourne autour d'un rite ancestral lié à un Dieu. L'instit Julian à un pouvoir de manipulation sur ces cinq étudiants et il l'utilise bien entendu.
Notre étudiant va entrer dans ce groupe de jeunes étranges et intriguant...

Donna Tartt: