Je ne veux m'en empêcher, c'est comme une envie, une drogue. Mais si seulement j'avais su la consommer plus tôt. Si j'avais pu me shooter avec ma passion plus vite au lieu de me prendre la tête comme je l'ai fait... Sans raisons, sans me jeter l'opprobre.
Il aurait mieux valu qu'on me gifle et qu'on me fasse comprendre que mon avenir se construisait là pendant que je gémissais, reniflais, me plaignais. Je chialais pour tant et tellement de futilités.
Les lettres, les récits, la passion, et les mélodies qui les accompagnent. C'est mon lot, mais je ne sais qu'écrire entre deux heures où je cours, m'inquiète, me prends la tête m'énerve et m'encoure.
Le journalisme, la rédaction, rédiger putain! M'épancher par des mots, travailler mes textes comme on travaille la pierre brute avec faim, celle dont on sort une figure presque parfaite...
Et puis j'ai vaincu mes démons d'enfance. Vaincu mes faux tourments mais il était trop tard je devais me dépêcher, et pourtant j'ai perdu mon temps. Là je rédige dans tous les sens et je pleure sur mon avenir gâché, sur un avenir où j'aurais été épanoui, heureux, repu.
J'écris mon sentiment vaincu. J'accentue ma rage de vivre, mon envie et ma peine de rédiger avec peu de justesse faute d'étude. Faute de don de moi-même que j'ai livré au dédain et à l'angoisse puis à la crainte, la peur et les gémissements. Livré aux amours futiles et de loin, qui font des amants exsangues...
La passion trahie, l'amour faux et vils, la passion futile et inexplorée. Les tentations d'y aller et encore plus loin jusqu'au point de non-retour. Ce baiser diabolique échangé sur le bord d'un canapé, oh mon dieu quel pas de coté, quelle erreur et pourtant. C'est là que ma vie a commencé, là que j'ai enfin pu m'assumer rien que pour ça espèce de saleté de mort que tu es! Je suis obligé de te dire merci, mais tu es et tu seras toujours ma pire rencontre mon pire souvenir. Mon horreur de tant de matins, ma hantise de tellement de soirs. Je te hais jusqu'au plus profond de mes entrailles, je te vomis, mais merci...
Je n'en ai pas fini avec toi, autant l'amour que la haine t'ont été dédiés et je peux l'écrire, oui, je t'ai cru. Mais je te hais ! Et toi, oui lui je l'aime. On va dire, mais pourquoi ?
Parce qu'il est lui-même, il est lui avec ses défauts et qualités. Il m'aime comme je suis et ne me juge pas, il est fidèle à sa bonté sa gentillesse.
Y'en a qui savent, y en a qui ne comprennent pas, mais je m'en moque j'en ai rien a fiche de ces gens. Ils referont jamais ma vie, ils recoudront jamais mon avenir gâché. Alors qu'ils me jugent, me condamnent même j'en ai rien a fiche parce que cette fois je serais moi-même.
Il faut mentir et se cacher ? Surement oui, inventer répondre à côté de peur d'être découvert, mis à nu ? Et alors...
Je m'en moque, ma vie est au plus profond de mon être avec ceux que j'aime et non avec ceux que je côtoie. Je ne gâcherais plus rien. Je ferais en sorte de tout fignoler , et mes écrits et mes passions... Je serais moi, j'écrirais de moi et je rédigerais comme je pense et comme je ressens, tel que je vis. Si ça ne plaît pas, ne lisez rien, je vous choque, tournez les talons, ça t' ébahis... Tant pis, parce que je vis.
Et que vivent ma vie et mes envies.
mercredi 22 juin 2016
Tellement longtemps.
Ça fait tellement longtemps, trop de temps que j'ai couché sur papier ou ailleurs, ce que je retiens au confins de moi-même.
Y a un moment que je retiens en moi ce que j'ai de plus beau, de particulièrement sain...
Qu'on me pardonne car j'oublie, qu'on me sanctionne, oui, je trace ma vie et laisse derrière moi tant d'envies, beaucoup d'écrits.
Y a un moment que j'en ai besoin, qui le sait ? Même pas moi parfois, je me hais...
Il y a des jour j'aimerais lorsque je me lève, replonger dans mon rêve et continuer cette agréable vie, doux moments.
Y a un moment que je retiens ma vie pour rester quelqu'un.
Il m'arrive de perdre pied, d'être stupide au point de laisser passer l'essentiel et de gâcher l'envie puis d'oublier, trop...
Y a un moment que je retiens en moi ce que j'ai de plus beau, de particulièrement sain...
Qu'on me pardonne car j'oublie, qu'on me sanctionne, oui, je trace ma vie et laisse derrière moi tant d'envies, beaucoup d'écrits.
Y a un moment que j'en ai besoin, qui le sait ? Même pas moi parfois, je me hais...
Il y a des jour j'aimerais lorsque je me lève, replonger dans mon rêve et continuer cette agréable vie, doux moments.
Y a un moment que je retiens ma vie pour rester quelqu'un.
Il m'arrive de perdre pied, d'être stupide au point de laisser passer l'essentiel et de gâcher l'envie puis d'oublier, trop...
Ça fait un bail.
Ça fait un bail que j'ai écrit, je ne m'en souviens pas.
Surement que la vie me double, me contourne, je ne prends plus le temps de rien...
Et c'est mauvais.
Prendre le temps de m'épancher, d'écrire. De dire mes joies et mes peines, ça compte pourtant moi... Je dois vivre comme j'en ai le désir et cesser de toujours chercher mieux. Le bonheur est en soi, à la maison...
Je constate que j'ai de la chance cette fois et que je dois garder fermée ma vie et avaler la clef.
Personne n'a la clef de la vie d'autrui... J'ai envie, j'ai soif et faim de vivre et de dire ma pensée et ma haine, mon ennui et mes désirs.
Écrire dans tous les sens sans but précis, juste pour me vider l'âme. M'épancher, écrire pour le plaisir, de lire ou ne pas lire, comprendre ou pas, peu m'importe, j'écris cette fois pour moi.
Surement que la vie me double, me contourne, je ne prends plus le temps de rien...
Et c'est mauvais.
Prendre le temps de m'épancher, d'écrire. De dire mes joies et mes peines, ça compte pourtant moi... Je dois vivre comme j'en ai le désir et cesser de toujours chercher mieux. Le bonheur est en soi, à la maison...
Je constate que j'ai de la chance cette fois et que je dois garder fermée ma vie et avaler la clef.
Personne n'a la clef de la vie d'autrui... J'ai envie, j'ai soif et faim de vivre et de dire ma pensée et ma haine, mon ennui et mes désirs.
Écrire dans tous les sens sans but précis, juste pour me vider l'âme. M'épancher, écrire pour le plaisir, de lire ou ne pas lire, comprendre ou pas, peu m'importe, j'écris cette fois pour moi.
Meanin’ of life.
Meanin’ of life
Condamné, on pousse un premier souffle,
Le dernier cri qui clame qu'on sort du gouffre.
Amené à marcher dans ce monde qui souffre,
Cette envie me pousse malgré moi
Jusqu'au bout d'une chaotique voie :
Je grandis dans les larmes ou dans la joie,
Vie épique ou chemin de croix...
De l'enfant rieur à l'adulte aigri,
On survit dans un monde gris
Chaque jour s'ajoute à mon destin
La vie est un leurre et je marche,
J'erre, me balade et des mots, je crache
Vers le ciel ou pour ma race, les mots sont miens,
Je veux laisser une trace de ma condamnation :
Une direction obligatoire pointant ce foutu purgatoire.
Je sortirai de cette fourmilière
Et avec mon envie, entrerai dans ma lumière
La lumière qui claque, la lueur qui m'est chère
Je le hurle au ciel : « Ma vie n'est à personne !
L'azur, un jour, je rejoindrai ! L'éther est mien !
Je crèverai, j'agoniserai, je jouerai cartes en main ! »
Et sur la table ma fichue vie et ma prose qui te prononcera ma persévérance,
Même dans l'au-delà, reste près de moi, espérance...
Car avec mes vers, je t'imposerai mon univers si solitaire
Solitairement solidaire, je continuerai seul dans ce monde sévère !
Duo d'écriture : ronardeau et esprimo
Samedi, 21 juillet 2007
21 :49
Condamné, on pousse un premier souffle,
Le dernier cri qui clame qu'on sort du gouffre.
Amené à marcher dans ce monde qui souffre,
Cette envie me pousse malgré moi
Jusqu'au bout d'une chaotique voie :
Je grandis dans les larmes ou dans la joie,
Vie épique ou chemin de croix...
De l'enfant rieur à l'adulte aigri,
On survit dans un monde gris
Chaque jour s'ajoute à mon destin
La vie est un leurre et je marche,
J'erre, me balade et des mots, je crache
Vers le ciel ou pour ma race, les mots sont miens,
Je veux laisser une trace de ma condamnation :
Une direction obligatoire pointant ce foutu purgatoire.
Je sortirai de cette fourmilière
Et avec mon envie, entrerai dans ma lumière
La lumière qui claque, la lueur qui m'est chère
Je le hurle au ciel : « Ma vie n'est à personne !
L'azur, un jour, je rejoindrai ! L'éther est mien !
Je crèverai, j'agoniserai, je jouerai cartes en main ! »
Et sur la table ma fichue vie et ma prose qui te prononcera ma persévérance,
Même dans l'au-delà, reste près de moi, espérance...
Car avec mes vers, je t'imposerai mon univers si solitaire
Solitairement solidaire, je continuerai seul dans ce monde sévère !
Duo d'écriture : ronardeau et esprimo
Samedi, 21 juillet 2007
21 :49
Mon Amie, mon âme
Mon Amie, mon âme
Mon Amie, revient à moi, mon monde est gris,
Je suis inconscient d'émoi, je sonde mon mépris
Pour pouvoir crier « je t'aime, je suis épris »,
Je suis prêt à renier ma haine, regarder l'azur, et d'autres nuits
L'éther est si beau la nuit avec ces étoiles qui filent comme moi.
J'enterre mon lot, sous ce voile qui se défile, mais pourquoi me laisses-tu là ?
Pourquoi t'enfuis-tu ? Pourquoi t'emplis-tu de haine ? Je suis empli de joie... Je hurle sur la plaine tel un loup à sa proie, rempli de toi vidé d'émoi, ô, reviens-moi,
Je pleure, mon corps se vide d'espoir, il s'emplit de mots qui fusent...
Je n'en peux plus, reviens-moi, elles transpercent de larmes confuses
Mon âme, mon esprit, ma tête et mon corps, ils saignent dans cet océan, ma muse
Cette lame, ces cris, mes torts, ô mon amour tant espéré, tu me refuses...
Mais tu ne pourras bientôt plus t'opposer, viens que je te blesse !
Je sais, c'est trop tôt et mon effroi désire tes caresses, mon dieu accorde-les moi !
Redonne-moi ce que tu m'as donné avant que je ne m'efface !
Où restons là où tu m'as abandonné, mais la suite, mieux vaut que tu ne la saches :
Tu en mourrais de dégoût, à voir sur mon dos, ces coups de cravache...
Tu m'as enlevé le goût, je ne me repose plus, aime-moi ou crève comme une lâche.
Je deviendrai une épave, un mort-vivant qui traînera ses lambeaux de chair
Dans cette enclave, où mes torts te crucifieront, tu m'es trop chère
Fais-moi un signe ou laisse-moi agoniser comme une bête malade...
Je ne peux te retenir, je suis trop indigne et mon cœur est affable.
Ce que je faisais jadis n'est plus : t'entretenir lors de nos balades.
Tends-moi la main où abandonne ta bête malade,
Je t'aime et te hais, je t'aime et te méprise
Mon cœur s'arrête, se saccade,
Je meurs, j'ai tout sauf la maîtrise.
Ronardeau, Esprimo
Duo d'écriture.
20 juillet 2007.
Mon Amie, revient à moi, mon monde est gris,
Je suis inconscient d'émoi, je sonde mon mépris
Pour pouvoir crier « je t'aime, je suis épris »,
Je suis prêt à renier ma haine, regarder l'azur, et d'autres nuits
L'éther est si beau la nuit avec ces étoiles qui filent comme moi.
J'enterre mon lot, sous ce voile qui se défile, mais pourquoi me laisses-tu là ?
Pourquoi t'enfuis-tu ? Pourquoi t'emplis-tu de haine ? Je suis empli de joie... Je hurle sur la plaine tel un loup à sa proie, rempli de toi vidé d'émoi, ô, reviens-moi,
Je pleure, mon corps se vide d'espoir, il s'emplit de mots qui fusent...
Je n'en peux plus, reviens-moi, elles transpercent de larmes confuses
Mon âme, mon esprit, ma tête et mon corps, ils saignent dans cet océan, ma muse
Cette lame, ces cris, mes torts, ô mon amour tant espéré, tu me refuses...
Mais tu ne pourras bientôt plus t'opposer, viens que je te blesse !
Je sais, c'est trop tôt et mon effroi désire tes caresses, mon dieu accorde-les moi !
Redonne-moi ce que tu m'as donné avant que je ne m'efface !
Où restons là où tu m'as abandonné, mais la suite, mieux vaut que tu ne la saches :
Tu en mourrais de dégoût, à voir sur mon dos, ces coups de cravache...
Tu m'as enlevé le goût, je ne me repose plus, aime-moi ou crève comme une lâche.
Je deviendrai une épave, un mort-vivant qui traînera ses lambeaux de chair
Dans cette enclave, où mes torts te crucifieront, tu m'es trop chère
Fais-moi un signe ou laisse-moi agoniser comme une bête malade...
Je ne peux te retenir, je suis trop indigne et mon cœur est affable.
Ce que je faisais jadis n'est plus : t'entretenir lors de nos balades.
Tends-moi la main où abandonne ta bête malade,
Je t'aime et te hais, je t'aime et te méprise
Mon cœur s'arrête, se saccade,
Je meurs, j'ai tout sauf la maîtrise.
Ronardeau, Esprimo
Duo d'écriture.
20 juillet 2007.
Dompté par la nuit.
Dompté par la nuit.
C'est tellement beau la nuit,
Tellement subtil, ce gris.
Je vous convie, cher somnolant,
À ouvrir vos yeux déments.
Chassez de votre être ces cauchemars diurnes,
Envoyez paître cette tentation nocturne.
Prêtez l'oreille aux hululements de la nuit,
Laissez vous envahir par sa mélancolie.
N'ayez aucune crainte de ces aboiements,
Ce ne sont que des chiens certes, envahit par le tourment.
Laissez vous habiter à la vision de cette lune,
Tombez les bras tels ces errants somnambules.
Vallée Vincent.
( rime en 6 vers.)
28 septembre 2009.
C'est tellement beau la nuit,
Tellement subtil, ce gris.
Je vous convie, cher somnolant,
À ouvrir vos yeux déments.
Chassez de votre être ces cauchemars diurnes,
Envoyez paître cette tentation nocturne.
Prêtez l'oreille aux hululements de la nuit,
Laissez vous envahir par sa mélancolie.
N'ayez aucune crainte de ces aboiements,
Ce ne sont que des chiens certes, envahit par le tourment.
Laissez vous habiter à la vision de cette lune,
Tombez les bras tels ces errants somnambules.
Vallée Vincent.
( rime en 6 vers.)
28 septembre 2009.
Écrire, pour renaître...
Écrire, pour renaître...
Je ressens le besoin d'écrire toujours et encore, parce que ça fait partie de moi et de mon existence. J'ai besoin de réfléchir par écrit de coucher sur le papier mes états d'âme mes coups de gueule. J'ai besoin d'écrire avec le sang de mes blessures avec pour seule et unique gomme mes larmes de joie et de peine. Les mots sont plus forts que mes cris, plus grands que ces montagnes d'ennui qui se dressent devant moi. Les mots sont plus doux que les caresses, plus tranchant que n'importe quelle lame, ils blessent mieux qu'ils lapident. Ils sont criants de vérité, et d'impact, ils sont plus épatant que damoiseau, ils sont ma vie, ma foi. Ils m'ont tant aidé a rire, a imaginer, rêver, a pleurer... Oh oui, ils m'ont aidé a pleurer, a prier comme j'ai prié avec mon stylo ...
Mon téléphone avec dieu, mon seul exutoire mon seul recours... Que reste-t-il d'un homme quand il est dans le néant ? Que puis je faire ? À qui dire ma vie et ma peine, a qui dire ma joie et ma souffrance ?
Si ce n'est à ce papier avec mes mots ? Eux ne me jugent pas, eux ne me trahissent pas, eux ne rient pas de moi... Oh dieu qu'il est dur et bon d'être un mélancolique, les mots jaillissent et me transcendent. Ils glissent de mon âme à ma pensée et coulent jusqu'à mes doigts pour s'écraser sur le papier...
Les mots sont ma naissance, ma renaissance, avec eux je vole et envole mes oublis. Grâce à eux mon âme renaît aux jours des grands, aux cieux du néant. Les mots naissent et renaissent en mon sein. Ils transpercent le courant de mon âme pour mourir sur le papier, que je ne relirais pas, par crainte qu'il ne meure à nouveau. Non surtout pas, il me fait tant de bien ce renouveau, cette renaissance...
Je ressens le besoin d'écrire toujours et encore, parce que ça fait partie de moi et de mon existence. J'ai besoin de réfléchir par écrit de coucher sur le papier mes états d'âme mes coups de gueule. J'ai besoin d'écrire avec le sang de mes blessures avec pour seule et unique gomme mes larmes de joie et de peine. Les mots sont plus forts que mes cris, plus grands que ces montagnes d'ennui qui se dressent devant moi. Les mots sont plus doux que les caresses, plus tranchant que n'importe quelle lame, ils blessent mieux qu'ils lapident. Ils sont criants de vérité, et d'impact, ils sont plus épatant que damoiseau, ils sont ma vie, ma foi. Ils m'ont tant aidé a rire, a imaginer, rêver, a pleurer... Oh oui, ils m'ont aidé a pleurer, a prier comme j'ai prié avec mon stylo ...
Mon téléphone avec dieu, mon seul exutoire mon seul recours... Que reste-t-il d'un homme quand il est dans le néant ? Que puis je faire ? À qui dire ma vie et ma peine, a qui dire ma joie et ma souffrance ?
Si ce n'est à ce papier avec mes mots ? Eux ne me jugent pas, eux ne me trahissent pas, eux ne rient pas de moi... Oh dieu qu'il est dur et bon d'être un mélancolique, les mots jaillissent et me transcendent. Ils glissent de mon âme à ma pensée et coulent jusqu'à mes doigts pour s'écraser sur le papier...
Les mots sont ma naissance, ma renaissance, avec eux je vole et envole mes oublis. Grâce à eux mon âme renaît aux jours des grands, aux cieux du néant. Les mots naissent et renaissent en mon sein. Ils transpercent le courant de mon âme pour mourir sur le papier, que je ne relirais pas, par crainte qu'il ne meure à nouveau. Non surtout pas, il me fait tant de bien ce renouveau, cette renaissance...
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