mercredi 22 juin 2016

La fatalité de la vie.

Il n'est pas bien grand il est même encore jeune pour écrire mais il aime ça, non je me trompe  il  adore écrire c'est son échappatoire. Il écrit pour pleurer, il écrit avec envie et avec ses larmes.
Les jours, les années, tout passe et autour de moi se répand le néant, oui tout fiche le camp...

Mais je suis pourtant là moi !

Oui bien entendu, j'existe, et je n'existe pas que pour moi, sinon je ne serais pas là, je suis là pour eux, c'est certain, peut être pour lui l'avenir me le dira, oui, je sais, je doute... Oui, je suis un éternel pessimiste, un cultivateur de malheur parfois, la mort m'intrigue, mais elle me fait peur, je la veux loin de moi.

Plus je me dirige vers elle pourtant, plus les souvenirs se font vifs et certains rappels se font à moi, je les avais omis quelque part, mais les voilà aujourd'hui, vifs et clairs, avec leurs odeurs, leurs ressenti, leurs amertumes...

J'ai dévié du chemin, je me suis égaré et je sais pourtant où partir pour redémarrer, mais c'est trop tard, beaucoup trop, y compris pour renoncer et faire encore une fois du mal autour de moi.

Si la vie était un chemin et qu'au milieu de celui-ci, on remarquerait être perdu, faire marche arrière prolongerait nos vies parce que nous rebrousserions chemin ?

Si la vie était un chemin et qu'au milieu de celui-ci, on remarquerait être perdu, faire marche arrière prolongerait nos vies parce que chemin rebroussé ?

Le destin nous met là où on doit aller, c'est ça la fatalité de la vie.


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