lundi 20 juin 2016

Tonneaux vides !


J'ose à peine y penser...

Pendant tout ce temps, j'ai été moi-même, pendant tous ces mois j'ai donné de ma gentillesse. J'ai fait des efforts, consenti à changer à sacrifier des banalités de la vie, de ma vie. Pour toi, pour vous...
Mais qu'as-tu fais de moi, qu' as-tu osé faire consciemment. Parce que c'est trop facile de dire que tu souffrais aussi et n'était pas face à la réalité !
Comment peux-tu vivre ainsi, et toi comment peux-tu accepter de survivre à cette vie. Dépendre des autres, quémander, fouiller après de quoi le calmer et a défaut, de t'allonger et dormir pour ne plus penser ?

Vous m'avez tant couvert de fausses gentillesses, vous êtes si faux tous les deux, et je m'étonnais de vous voir seul...

On passe... Et si on en échappe ce n'est pas sans blessures. Moi, tu m'as blessé au cœur, oui au cœur parce que je te l'avais donné sans compter. J'avais changé, mûri en amour pour toi, mais qu'ai-je fait ?
Sans cesse, tu n'as fait qu'une chose, profiter.
Mais finalement qui es-tu ? Et ton père, qui est-il? Il juge d'une façon vis-à-vis de toi et n'agit pas en accord avec sa raison. Il dénigre les autres, fait le gentil avec certains uniquement par profit.
Et ton père, qui est-il, il pense d'une façon vis-à-vis de toi et n'agit pas en accord avec sa pensée. Il dénigre les autres, fait le gentil avec certains uniquement par profit.

Tu n'aimes pas, tu subis un sentiment qui t'emporte. Tu as besoin de te moquer, de jouer et ce, avec les gens. Dés que t'en as marre, tu jettes, tu dénigres, tu injuries, et pire tu trahis.
J'ai même plus envie d'écrire à ton sujet, je veux oublier, ne plus réfléchir. J'ai trop pleuré, trop souffert pour toi.  C'est fini, je t'ai tout donné et je voulais te donner encore plus, mais ta vie, ton attitude, toi... Tu as tout gâché.

J'aurais aimé ne rien vivre de tout cela, j'ai presque peur de l'écrire. C'est pourtant vrai parce que je n'ai pas mérité ton assaut final. Ta sentence. Je ne suis pas sans défaut, mais je suis gentil. Vrai envers moi et les autres, toi pas et toi non plus, vous êtes tout deux des tonneaux vides. Vous faites du bruit, mais êtes vides, vides de tout.
À jamais.

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